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Biographie de Billy Idol

billy-idol1C’est le 30 novembre 1955 que Billy Idol voit le jour dans le Middlesex, pas très loin de Londres. De son vrai patronyme William Broad, il suit brièvement des études de philosophie et de lettres à l’université du Sussex mais est très vite attiré par la culture rock. Plus particulièrement par le mouvement punk, dont les Sex Pistols sont les fers de lance. C’est d’ailleurs ce groupe qui fut la principale influence de sa première formation, Bromley Contigent, en 1976, et dans lequel on retrouvait notamment Siouxsie Sioux, future chanteuse des Siouxsie & the Banshees.

Generation X

Un groupe à la carrière éphémère puisque chacun de ses membres avait déjà l’envie de créer son propre combo et c’est ce que fait Billy Idol avec Generation X, groupe dont le nom est inspiré d’une oeuvre sociologique.

Ce groupe connaît quelques succès (Your Generation, Ready Steady Go, King Rocker, Valley Of The Dolls) à la fin des années 70 mais finit par se séparer en 1981.

C’est à cette époque que Billy part s’installer aux États-Unis où il obtient son premier succès en solo un an plus tard, avec Hot In The City (n°4 au Billboard américain).

White Wedding

L’album qui suit est produit par Bill Aucoin, célèbre pour officier avec les hard rockeurs de Kiss, des superstars outre-Atlantique. L’album, sobrement intitulé Billy Idol, reste classé pendant deux ans dans les charts américains, grâce entre autres au succès de White Wedding.

Le New-yorkais d’adoption cultive son côté punk, sexy et méchant, tout en se faisant une certaine place au sein du show-biz. Son mélange de rock et de disco fait la joie des adolescents.

Whiplash Smile

Dès 1984, il confirme car il va enchaîner avec de gros tubes comme Eyes Without A Face ou Flesh For Fantasy pour son album Rebel Yell qui se vend à huit millions d’exemplaires !

En 1987, c’est la sortie de Whiplash Smile, qui contient un nouveau hit avec Sweet Sixteen, suivi par l’album Charmed Life en 1990.

Entre temps, Billy Idol a participé, en 1988, à la reformation des Who et à leur nouvelle version de l’opéra rock “Tommy”. Son fidèle complice, le guitariste Steve Stevens, est quant à lui parti rejoindre Michael Jackson, pour l’album Bad, et plus particulièrement le morceau Dirty Diana, dédié à Diana Ross.

Cyberpunk

A la fin des années 80, la compilation Idol Songs reprend ses plus grands tubes et est complétée par un remix tonitruant de Don’t Need A Gun.

Il épouse une ex Coconut de Kid Creole, Perri Lister, et un autre de ses potes des débuts, Tony James, crée le groupe Sigue Sigue Sputnik.

Billy Idol connaît son premier gros échec en 1993, en pleine émergence techno, puisque son Cyberpunk alliant son style habituel à ces nouvelles sonorités ne rencontre pas l’adhésion du public. Grosse déprime et début d’une certaine déchéance puisqu’il sombre dans la drogue et passe tout près d’une overdose fatale l’année suivante…

Devil’s Playground

Il traverse les années 90 dans une relative indifférence, se consacrant à l’écriture et réapparaissant néanmoins en 1998, au cinéma, dans le film The Wedding Singer. Il avait déjà fait preuve d’un certain talent d’acteur au début de la décennie dans le film d’Oliver Stone, “The Doors”.

En 2001 sort la compilation Greatest Hits. On y note une reprise des Simple Minds, Don’t You (Forget About Me).

En mars 2005, le vétéran du hard rock est revenu avec Devil’s Playground, son premier album studio depuis 1993, signé chez Sanctuary Records.

tty2.com

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