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Biographie de Rod Stewart
De son vrai nom Roderick David Stewart, Rod Stewart est d’origine écossaise mais est né le 10 janvier 1945 à Londres. Féru de football, il a failli faire de ce sport son métier mais s’est finalement tourné vers la musique à l’âge de dix-sept ans.
C’est à ce moment-là qu’il intègre le groupe Jimmy Powell and The Five Dimensions dans lequel il joue de l’harmonica. Il rejoint par après Hoochie Coochie Men avant d’intégrer la revue Steampacket. Il sévit ensuite au sein de Shotgun Express aux côtés du futur fondateur de Fleetwood Mac.
Jeff Beck
C’est dans ce dernier groupe que Rod Stewart se familiarise avec le chant. Mais c’est avec le Jeff Beck Group que sa renommée prend véritablement forme. Sa voix rauque et la puissante guitare de Beck lui offrent ses premiers succès et deux albums restent en guise de testament: Truth en 1968 et Cosa Nostra Beck Ola en 1969. Il continue néanmoins de collaborer avec d’autres musiciens, notamment Ron Wood (Rolling Stones) au sein de The Faces, avant de se lancer en solo au début des années 70.
Maggie May
Un premier album, An Old Raincoat Won’t Ever Let You Down passe complètement inaperçu, ce qui n’est pas le cas du suivant, Gasoline Alley, éclairé par le tube Lady Lay. Rod Stewart transforme l’essai dès 1971 avec Every Picture Tells A Story qui comprend notamment Maggie May.
Le blond rocailleux devient une superstar et défraie aussi la chronique par ses nombreuses frasques et ses incessantes conquêtes féminines. Parallèlement, il tourne toujours avec The Faces mais les quitte en 1975.
Pop et disco
Milieu des années 70: c’est l’époque du disque Atlantic Crossing, avec Sailing -repris par Christopher Cross-, bientôt suivi de A Night On The Town. Du rock, il glisse doucement vers la pop et même la musique disco, comme en témoigne l’énorme tube Da Ya Think I’m Sexy, extrait de l’album Blondes Have More Fun.
Rod Stewart enchaîne les succès et ses disques se vendent par dizaines de millions ! L’inspiration semble toutefois lui manquer et le chanteur va connaître une décennie beaucoup plus difficile sur le plan commercial malgré de jolis tubes comme Passion ou Baby Jane.
Unplugged
Un succès qui revient en 1993 grâce à la bande originale des “Trois Mousquetaires” (All For Love) qu’il interprète conjointement avec Sting et Bryan Adams. Dans la foulée, Rod Stewart publie un excellent Unplugged, collection de ses grands succès en version acoustique, dans lequel il retrouve Ron Wood.
L’année 1998 marque la parution de When We Were The New Boys. Trois ans plus tard, c’est Human, très coloré R&B, qui est dans les bacs. Un double best of, The Story So Far, paraît après la tournée de 2001.
Années 30 et 40
En 2002, Rod Stewart se plonge dans l’Amérique d’avant-guerre en reprenant des grands standards des années 30/40 dans The Great American Songbook. C’était l’époque du cinéma de Fred Astaire et l’âge d’or de Billie Holiday. Des interprétations pleines de finesse…
tty2.com
Discographie de Rod Stewart
2018 : Blood Red Roses
2015 : Another Country
2013 : Time
2012 : Merry Christmas Baby
2010 : Fly Me to the Moon… The Great American Songbook Volume V
2009 : Soulbook
2006 : Still the Same… Great Rock Classics of Our Time
2005 : Thanks for the Memory: The Great American Songbook, Volume IV
2004 : Stardust: The Great American Songbook, Volume III
2003 : As Time Goes By: The Great American Songbook, Volume II
2002 : It Had to Be You: The Great American Songbook
2001 : Human (Atlantic)
1998 : When We Were the New Boys
1995 : A Spanner in the Works
1991 : Vagabond Heart
1988 : Out of Order
1986 : Every Beat of My Heart
1984 : Camouflage
1983 : Body Wishes
1981 : Tonight I’m Yours
1980 : Foolish Behaviour
1978 : Blondes Have More Fun
1977 : Foot Loose & Fancy Free
1976 : A Night on the Town
1975 : Atlantic Crossing
1974 : Smiler
1972 : Never a Dull Moment
1971 : Every Picture Tells a Story
1970 : Gasoline Alley
1969 : An Old Raincoat Won’t Ever Let You Down